Quelques mois plus tard, Je n’avais pas digéré la défaite que Judas m’avait infligée. Je devais reconnaître qu’il m’avait réellement dominé. Qu’il m’ait vaincu, passe encore, mais le panache avec lequel il m’avait terrassé me faisait enrager, il m’avait surpris, et j’aurais souhaité éprouver le plaisir qu’il avait pu éprouver lorsqu’il avait signé sa victoire. Souvent depuis, je me surprenais à revivre cette scène, et a en tirer du plaisir. Désireux à mon tour de prendre plaisir à le vaincre, je n’avais pas arrêté l’entraînement, et quotidiennement, je rencontrais ce Thrace qui au delà de m’apprendre les techniques contribuait à enrichir la rapidité de mes réflexes, et à me donner un niveau équivalent à de nombreux esclaves voués aux arènes. Avec le temps, j’avais acquis assez de technique. Afin d’être sûr de la qualité de mon entraînement, j’avais imposé des punitions lourdes à cet esclave Thrace dès que je parvenais à le vaincre, et le récompensais s’il me terrassait. Ainsi, pour son intérêt, il déployait toute sa force, et me donnait ainsi suffisamment de fil à retordre. Au bout de quelque temps, je constatai qu’il était de moins en moins récompensé, non pas par manque de combativité, mais tout simplement parce que j’étais devenu meilleur que lui.
C’est à ce moment que je décidai de prendre ma revanche. L’hiver approchait, et je savais que Judas devais repasser quelques jour dans la région, je le fis réclamer pour un quelconque prétexte.
Depuis sa victoire passée, il était assez fier de m’avoir terrassé, et prenait plaisir à évoquer cette victoire devant moi, laissant entrevoir un semblant de chantage : il n’hésiterait pas à dévoiler mes attirances pour le sexe fort si je ne lui octroyais pas à lui et sa famille quelques avantages …. Ce matin là , il se présenta sans méfiance, avec quelques doléances matérielles supplémentaires qu’il comptait m’extorquer. Nos rapports avaient quelque peu changé.
Je le convoquais dans le jardin. Sur l’arène qui servait habituellement pour l’entrepôt de diverses marchandises, j’avais fait entasser des sacs de blé à hauteur de la taille, et le cercle ainsi formé atteignait un diamètre d’une quinzaine de pas. Je m’étais vêtu d’un simple pagne, et l’attendis debout au centre de cette arène. Dès son entrée, il comprit ce qui l’attendait. « Tu as donc tellement aimé que l’esclave domine le maître, tu souhaites une fois de plus prendre du plaisir ? » Je dois bien reconnaître qu’il n’avait pas tout à fait tort, mais cette fois, je souhaitais prendre du plaisir sur SA défaite. La partie promettait d’être difficile, mais il fallait en passer par là pour rétablir l’amitié dans nos rapports.
Il jeta sa djellaba, et sauta avec vigueur dans l’arène. Son corps n’avait pas perdu ses charmes, et alors que nous nous observions, je sentis le désir monter en moi de le soumettre. Nos mains s’enlacèrent, nos doigts s’enchevêtrèrent, et une partie de force s’engagea. Tous deux arc bouttés, avec la volonté d’incliner l’adversaire, déjà, la tension était grande.
Mieux préparé que Judas, mais au bout d’une longue épreuve de force, je parvins enfin à tourner la situation à mon avantage. Les muscles de Judas étaient maintenant bien saillants, et le désir de me frotter à son corps devenait maintenant difficile à maîtriser. Je le projetais alors au sol, et l’enjambais sans retenue. Les deux épaules rivées au sol, il gigotait sous mes fesses, tentant de me faire basculer. Je saisis sa nuque avec mes deux mains, et tirais de toutes mes forces plaçant sa nuque en extension, et son visage contre mon sexe.
Il se heurta à la dureté de mon membre. Quelques secondes sous cette emprise, et j’eus le plaisir de constater que l’émoi s’était aussi emparé des coulisses de son pagne. A ce point de notre rencontre, j’arrachais le pagne de Judas, lâchais ma prise, et arrachais mon propre pagne. Nos deux corps nerveux et musculeux étaient maintenant nus et ne dissimulaient plus rien sur nos volontés. Judas se rua sur moi. Tous deux à terre, nous roulâmes au sol. Judas tira profit de cette situation il parvint à me jeter sur les sacs de blé j’étais sur le dos, la tête et les bras d’un coté, et les jambes de l’autre. Judas prenait l’avantage. Rapidement, il grimpa sur les sacs, s’assit sur mon ventre et m’infligea une soumission. Mes reins étaient à dure épreuve, mais mes abdos développés me permettaient d’atténuer la flexion. « C’est pas bien terrible tout ça dit-il ironiquement, il en faudra plus pour me faire prendre autant de plaisir que l’autre fois ! « lâcha-t-il ironiquement. La dessus, il m’asséna un coup de poing dans les abdos, et se rejoignit le centre de l’arène. Difficilement, le souffle coupé, je me redressai, et rassemblant mes forces, je regagnai le centre de l’arène. Il tournait autour de moi, comme une hyène autour d’une proie dangereusement affaiblie. Soudain, il se jeta sur moi, et m’appliqua une prise du sommeil.
Désireux de me rendre inoffensif, il voulait juste m’anéantir à petit feu. Je commençais à me sentir affaibli, mon champ visuel se rétrécissait lentement, mon corps s’engourdissait. Souhaitant que je sois conscient de sa domination, il ne porta pas l’étreinte à son terme. Pourtant, il tenait sa victoire ! Il me laissa tomber, je m’affalai à ses pieds. Dédaigneux, il tourna autour de moi.
Malgré mon étourdissement, je gardais toujours une part d’admiration à la simple vue de son anatomie, et cette part me rendis plus rapidement que prévu assez d’énergie pour que je profite de son inattention. Je m’emparai de ses 2 chevilles, et le déséquilibrais. Nous étions maintenant tous deux à terre. Dans sa chute latérale, il venait de subir un choc assez brutal, je profitais de l’occasion, et lui appliquais un genou dans ses reins, dans une main, sa cheville droite, dans l’autre sa tête.
Ses abdos en extension, et ses reins comprimés, la position était douloureuse, et assez peu négociable. Judas essoufflé dans mes mains était épris de soubresauts, et chacun de ses mouvements me donnait l’occasion de raffermir ma prise, réduisant ainsi ses chances de se débarrasser de moi. Au bout de quelques minutes de cette situation, je rejetai son corps sur son ventre, enjambais ses reins. Un pied de chaque coté de sa tête, je tirais son corps de manière à glisser mes genoux sous ses aisselles. Je saisis son menton entre mes mains, et lui appliquais cette savoureuse prise du dromadaire, ô combien dominatrice.
Judas exténué râlait entre mes mains. Il sentait enfin sa suprématie lui échapper. De mon coté, j’éprouvais le plaisir du chat avec une souris. Enfin, je pouvais envisager l’humiliation totale. Mais d’abord, je voulais jouer un peu avec ce corps magnifique. Je basculais mon étreinte sur le coté, nouais mes jambes en un ciseau autour de sa taille et mes bras autour de sa puissante nuque en un ferme double nelson.
Il était coincé et passif. Le cheval sauvage commençait à afficher les signes de docilité de la bête soumise. Hélas pour lui, ce n’était pas au statut du cheval dompté que je souhaitais l’amener.
Ses pectoraux déchirés, sa nuque en hyper-tension, ses abdominaux broyés, il était bien affaibli. Je dénouais mes jambes, et me payais le luxe d’un nelson avec mes jambes. Il était assis sur ses fesses, et je glissais mes jambes sous ses aisselles, refermant mes chevilles sur sa nuque.
Contractant mon corps de toutes mes forces, je lui tirais un hurlement de douleur, ainsi qu’une contraction assez stupéfiante. À ce moment du combat, mon excitation était extrême. Judas n’offrait plus de résistance. Sans méfiance, et pour l’achever, je lâchais toute prise pour l’estocade finale.
Le cheval fougueux avait gardé encore quelque réserve et me fit payer mon erreur. Je n’étais pas encore sur mes jambes qu’il se retourna et me terrassa sans autre forme de procès.
La haine que je lis alors dans ses yeux me fit presque peur. Heureusement pour moi, affaibli par mon précédent acharnement, il eut un moment d’hésitation que j’exploitais avant que l’issue du match ne vire à ma perte : avant qu’il ne paralyse mes jambes, je refermais mon ciseau sur sa taille et contractais au maximum cette étreinte. N’en pouvant plus de la douleur que j’exerçais, il lâcha mes bras pour s’atteler à dénouer mes jambes. Les mains enfin libres, je pus reprendre un peu de contrôle.
Rapidement, alors qu’il venait de se libérer de mon ciseau, je m’emparai de l’une de ses jambes au niveau des genoux, et mon autre bras sur sa nuque, je le fis plier. Il me fallait embrayer, de là, je parvins à le soulever, le projeter sur mon genou, et enfin, lui appliquer un superbe ciseau à la tête … Son agonie ne dura pas longtemps, il geignait. Mon excitation au maximum exhibée sous ses yeux ne resista pas longtemps et je lachais toute la purée, alors que Judah hurlait sa soumission.
Je le laissais au tapis seul avec sa défaite, et lui proposais amicalement de devenir mon esclave, lui proposant des joutes qui lui permettraient peut-être de rependre le dessus de temps en temps.
ladron fr (52)
27.7.2010 20:38Quelques mois plus tard, Je n’avais pas digéré la défaite que Judas m’avait infligée. Je devais reconnaître qu’il m’avait réellement dominé. Qu’il m’ait vaincu, passe encore, mais le panache avec lequel il m’avait terrassé me faisait enrager, il m’avait surpris, et j’aurais souhaité éprouver le plaisir qu’il avait pu éprouver lorsqu’il avait signé sa victoire. Souvent depuis, je me surprenais à revivre cette scène, et a en tirer du plaisir. Désireux à mon tour de prendre plaisir à le vaincre, je n’avais pas arrêté l’entraînement, et quotidiennement, je rencontrais ce Thrace qui au delà de m’apprendre les techniques contribuait à enrichir la rapidité de mes réflexes, et à me donner un niveau équivalent à de nombreux esclaves voués aux arènes. Avec le temps, j’avais acquis assez de technique. Afin d’être sûr de la qualité de mon entraînement, j’avais imposé des punitions lourdes à cet esclave Thrace dès que je parvenais à le vaincre, et le récompensais s’il me terrassait. Ainsi, pour son intérêt, il déployait toute sa force, et me donnait ainsi suffisamment de fil à retordre. Au bout de quelque temps, je constatai qu’il était de moins en moins récompensé, non pas par manque de combativité, mais tout simplement parce que j’étais devenu meilleur que lui.
C’est à ce moment que je décidai de prendre ma revanche. L’hiver approchait, et je savais que Judas devais repasser quelques jour dans la région, je le fis réclamer pour un quelconque prétexte.
Depuis sa victoire passée, il était assez fier de m’avoir terrassé, et prenait plaisir à évoquer cette victoire devant moi, laissant entrevoir un semblant de chantage : il n’hésiterait pas à dévoiler mes attirances pour le sexe fort si je ne lui octroyais pas à lui et sa famille quelques avantages …. Ce matin là , il se présenta sans méfiance, avec quelques doléances matérielles supplémentaires qu’il comptait m’extorquer. Nos rapports avaient quelque peu changé.
Je le convoquais dans le jardin. Sur l’arène qui servait habituellement pour l’entrepôt de diverses marchandises, j’avais fait entasser des sacs de blé à hauteur de la taille, et le cercle ainsi formé atteignait un diamètre d’une quinzaine de pas. Je m’étais vêtu d’un simple pagne, et l’attendis debout au centre de cette arène. Dès son entrée, il comprit ce qui l’attendait. « Tu as donc tellement aimé que l’esclave domine le maître, tu souhaites une fois de plus prendre du plaisir ? » Je dois bien reconnaître qu’il n’avait pas tout à fait tort, mais cette fois, je souhaitais prendre du plaisir sur SA défaite. La partie promettait d’être difficile, mais il fallait en passer par là pour rétablir l’amitié dans nos rapports.
Il jeta sa djellaba, et sauta avec vigueur dans l’arène. Son corps n’avait pas perdu ses charmes, et alors que nous nous observions, je sentis le désir monter en moi de le soumettre. Nos mains s’enlacèrent, nos doigts s’enchevêtrèrent, et une partie de force s’engagea. Tous deux arc bouttés, avec la volonté d’incliner l’adversaire, déjà, la tension était grande.
Mieux préparé que Judas, mais au bout d’une longue épreuve de force, je parvins enfin à tourner la situation à mon avantage. Les muscles de Judas étaient maintenant bien saillants, et le désir de me frotter à son corps devenait maintenant difficile à maîtriser. Je le projetais alors au sol, et l’enjambais sans retenue. Les deux épaules rivées au sol, il gigotait sous mes fesses, tentant de me faire basculer. Je saisis sa nuque avec mes deux mains, et tirais de toutes mes forces plaçant sa nuque en extension, et son visage contre mon sexe.
Il se heurta à la dureté de mon membre. Quelques secondes sous cette emprise, et j’eus le plaisir de constater que l’émoi s’était aussi emparé des coulisses de son pagne. A ce point de notre rencontre, j’arrachais le pagne de Judas, lâchais ma prise, et arrachais mon propre pagne. Nos deux corps nerveux et musculeux étaient maintenant nus et ne dissimulaient plus rien sur nos volontés. Judas se rua sur moi. Tous deux à terre, nous roulâmes au sol. Judas tira profit de cette situation il parvint à me jeter sur les sacs de blé j’étais sur le dos, la tête et les bras d’un coté, et les jambes de l’autre. Judas prenait l’avantage. Rapidement, il grimpa sur les sacs, s’assit sur mon ventre et m’infligea une soumission. Mes reins étaient à dure épreuve, mais mes abdos développés me permettaient d’atténuer la flexion. « C’est pas bien terrible tout ça dit-il ironiquement, il en faudra plus pour me faire prendre autant de plaisir que l’autre fois ! « lâcha-t-il ironiquement. La dessus, il m’asséna un coup de poing dans les abdos, et se rejoignit le centre de l’arène. Difficilement, le souffle coupé, je me redressai, et rassemblant mes forces, je regagnai le centre de l’arène. Il tournait autour de moi, comme une hyène autour d’une proie dangereusement affaiblie. Soudain, il se jeta sur moi, et m’appliqua une prise du sommeil.
Désireux de me rendre inoffensif, il voulait juste m’anéantir à petit feu. Je commençais à me sentir affaibli, mon champ visuel se rétrécissait lentement, mon corps s’engourdissait. Souhaitant que je sois conscient de sa domination, il ne porta pas l’étreinte à son terme. Pourtant, il tenait sa victoire ! Il me laissa tomber, je m’affalai à ses pieds. Dédaigneux, il tourna autour de moi.
Malgré mon étourdissement, je gardais toujours une part d’admiration à la simple vue de son anatomie, et cette part me rendis plus rapidement que prévu assez d’énergie pour que je profite de son inattention. Je m’emparai de ses 2 chevilles, et le déséquilibrais. Nous étions maintenant tous deux à terre. Dans sa chute latérale, il venait de subir un choc assez brutal, je profitais de l’occasion, et lui appliquais un genou dans ses reins, dans une main, sa cheville droite, dans l’autre sa tête.
Ses abdos en extension, et ses reins comprimés, la position était douloureuse, et assez peu négociable. Judas essoufflé dans mes mains était épris de soubresauts, et chacun de ses mouvements me donnait l’occasion de raffermir ma prise, réduisant ainsi ses chances de se débarrasser de moi. Au bout de quelques minutes de cette situation, je rejetai son corps sur son ventre, enjambais ses reins. Un pied de chaque coté de sa tête, je tirais son corps de manière à glisser mes genoux sous ses aisselles. Je saisis son menton entre mes mains, et lui appliquais cette savoureuse prise du dromadaire, ô combien dominatrice.
Judas exténué râlait entre mes mains. Il sentait enfin sa suprématie lui échapper. De mon coté, j’éprouvais le plaisir du chat avec une souris. Enfin, je pouvais envisager l’humiliation totale. Mais d’abord, je voulais jouer un peu avec ce corps magnifique. Je basculais mon étreinte sur le coté, nouais mes jambes en un ciseau autour de sa taille et mes bras autour de sa puissante nuque en un ferme double nelson.
Il était coincé et passif. Le cheval sauvage commençait à afficher les signes de docilité de la bête soumise. Hélas pour lui, ce n’était pas au statut du cheval dompté que je souhaitais l’amener.
Ses pectoraux déchirés, sa nuque en hyper-tension, ses abdominaux broyés, il était bien affaibli. Je dénouais mes jambes, et me payais le luxe d’un nelson avec mes jambes. Il était assis sur ses fesses, et je glissais mes jambes sous ses aisselles, refermant mes chevilles sur sa nuque.
Contractant mon corps de toutes mes forces, je lui tirais un hurlement de douleur, ainsi qu’une contraction assez stupéfiante. À ce moment du combat, mon excitation était extrême. Judas n’offrait plus de résistance. Sans méfiance, et pour l’achever, je lâchais toute prise pour l’estocade finale.
Le cheval fougueux avait gardé encore quelque réserve et me fit payer mon erreur. Je n’étais pas encore sur mes jambes qu’il se retourna et me terrassa sans autre forme de procès.
La haine que je lis alors dans ses yeux me fit presque peur. Heureusement pour moi, affaibli par mon précédent acharnement, il eut un moment d’hésitation que j’exploitais avant que l’issue du match ne vire à ma perte : avant qu’il ne paralyse mes jambes, je refermais mon ciseau sur sa taille et contractais au maximum cette étreinte. N’en pouvant plus de la douleur que j’exerçais, il lâcha mes bras pour s’atteler à dénouer mes jambes. Les mains enfin libres, je pus reprendre un peu de contrôle.
Rapidement, alors qu’il venait de se libérer de mon ciseau, je m’emparai de l’une de ses jambes au niveau des genoux, et mon autre bras sur sa nuque, je le fis plier. Il me fallait embrayer, de là, je parvins à le soulever, le projeter sur mon genou, et enfin, lui appliquer un superbe ciseau à la tête … Son agonie ne dura pas longtemps, il geignait. Mon excitation au maximum exhibée sous ses yeux ne resista pas longtemps et je lachais toute la purée, alors que Judah hurlait sa soumission.
Je le laissais au tapis seul avec sa défaite, et lui proposais amicalement de devenir mon esclave, lui proposant des joutes qui lui permettraient peut-être de rependre le dessus de temps en temps.